en une : Le lexique de français

Un droit au bonheur

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Droit au bonheur : un bon moyen de commencer ta reflexion consiste à reflechir sur le paradoxe qu'ily a à joindre les deux mots. Pose toi la question : que se passerait-il s'il y a avait un droit au bonheur ? Qu'est-ce qui fonderait ce droit ? qui le ferait respecter ? comment ? Serait-il de même nature que les autres droits ? Que devient le malheur ? un délit ? un préjudice ?
Peut-être qu'alors, tu t'apercevras qu'il est impossible de mettre un contenu précis sous cet impératif de bonheur, tant le bonheur n'est pas une formule, un patrimoine, une possession, mais un état.

Attention : il faut aussi montrer pourquoi ce droit au bonheur peut être envisagé, n'est pas une pure absurdité. Car le bonheur est la recherche essentielle, et que le droit ne protège-t-il pas contre les atteintes à ce bonheur (privation de liberté, atteintes corporelles) Si le droit protège du mal, existe-til donc un droit au bonheur ?

Voilà quelques amorces, j'attends tes réactions "
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