Sujet / exercice : Analyse de deux textes d'Hegel
Suggestion traitée : Non - votez pour rendre ce sujet populaire.
Forum actif : oui
Enoncé & travail préliminaire :
1er texte d?Hegel :
« Cette conscience de lui-même, l?homme l?acquiert de 2 manières :
théoriquement, en prenant conscience de ce qu?il est intérieurement, de tous les mouvements de son âme, de toutes les nuances de ses sentiments, en cherchant à se représenter à lui-même, tel qu?il se découvre par la pensée et à se reconnaître dans cette représentation qu?il offre à ses propres yeux. Mais l?homme est également engagé dans ses rapports pratiques avec le monde extérieur, et de ces rapports naît également le besoin de transformer ce monde, comme lui même, dans la mesure où il en fait partie, en lui imprimant son cachet personnel. Et il le fait pour encore se reconnaître lui-même dans la forme des choses, pour jouir de lui-même comme d?une réalité extérieure. On saisit déjà cette tendance dans les 1er impulsions
de l?enfant : il veut voir des choses dont il soit lui-même l?auteur, et s?il lance des pierres dans l?eau, c?est pour voir ces cercles qui se forment et qui sont son ?uvre dans laquelle il retrouve comme un reflet de lui-même. Ceci s?observe dans de multiples occasions et sous le formes les plus diverses, jusqu?à cette sorte de reproduction de soi-même qu?est une ?uvre d?art.
Hegel ( F, G, H , 85)
J?ai du mal à trouver mon plan de texte le voici :
I.
« Cette conscience de lui-même, l?homme l?acquiert de 2 manières :
théoriquement, en prenant conscience de ce qu?il est intérieurement, de tous les mouvements de son âme, de toutes les nuances de ses sentiments, en cherchant à se représenter à lui-même, tel qu?il se découvre par la pensée et à se reconnaître dans cette représentation qu?il offre à ses propres yeux. »
® définition de la conscience
II
« Mais l?homme est également
engagé dans ses rapports pratiques avec le monde extérieur, et de ces rapports naît également le besoin de transformer ce monde, comme lui même, dans la mesure où il en fait partie, en lui imprimant son cachet personnel. Et il le fait pour encore se reconnaître lui-même dans la forme des choses, pour jouir de lui-même comme d?une réalité extérieure. »
® restriction de cette définition
III .
« On saisit déjà cette tendance dans les 1er impulsions de l?enfant : il veut voir des choses dont il soit lui-même l?auteur, et s?il lance des
pierres dans l?eau, c?est pour voir ces cercles qui se forment et qui sont son ?uvre dans laquelle il retrouve comme un reflet de lui-même. »
® exemple pour illustrer cette définition
IV.
« Ceci s?observe dans de multiples
occasions et sous le formes les plus diverses, jusqu?à cette sorte de reproduction de soi-même qu?est une ?uvre d?art. »
® conclusion
2ième texte du même auteur :
« Il y a hypocrisie lorsque des hommes se conduisent avec méchanceté tout en se donnant, aux yeux d?autrui, l?apparence d?avoir une bonne intention, de vouloir accomplir une bonne action. Mais la conduite extérieure ne saurait se dissocier de la conduite intérieure. Lorsqu?on commet une
action méchante, c?est que l?intention a été, elle aussi, par
essence même, méchante et non pas bonne. Il peut arriver que, ce faisant, l?homme ait voulu obtenir un résultat qui fût bon ou, du moins, licite. Mais d?un moyen qui est en lui-même et pour lui-même empreint de méchanceté on ne saurait user pour obtenir quelque chose de bon. Le but ou
l?intention, ne sanctifie pas les moyens. La bonté de la
conduite elle-même n?est pas moins essentielle que celle de l?intention. ? Pas davantage l?homme ne saurait se persuader que, dans la conduite commune de sa vie individuelle, il obéisse à des intentions importantes et excellente. Mais, de même l?homme, d?un côté, aime lier ses propres
conduites à de bonnes intentions et tâche par des réflexions, de grossir ses conduites en elles-mêmes et pour elles-mêmes sans importance, inversement il lui arrive de prétendre découvrir quelque méchanceté dans les conduites grandes, ou du moins bonnes, d?autrui, en les rapportant à une intention égoïste. »
Hegel ( septembre 1991)
J?ai trouvé la structure mais je n?en suis pas sûre.
I.
« Il y a hypocrisie lorsque des hommes se conduisent avec méchanceté tout en se donnant, aux yeux d?autrui, l?apparence d?avoir une bonne intention, de vouloir accomplir une bonne action. »
® annonce du sujet et thèse de l?auteur
II .
« Mais la conduite extérieure ne saurait se dissocier de la conduite intérieure. Lorsqu?on commet une action méchante, c?est que l?intention a été, elle aussi, par essence même, méchante et non pas bonne. »
® restriction en définissant une action méchante
III.
« Il peut arriver que, ce faisant, l?homme ait voulu obtenir un résultat qui
fût bon ou, du moins, licite. Mais d?un moyen qui est en lui-même et pour lui-même empreint de méchanceté on ne saurait user pour obtenir quelque chose de bon. »
® exemple
IV.
«Le but ou l?intention, ne sanctifie pas les moyens. La bonté de la
conduite elle-même n?est pas moins essentielle que celle de l?intention. ? Pas davantage l?homme ne saurait se persuader que, dans la conduite commune de sa vie individuelle, il obéisse à des intentions importantes et excellente. »
® amène une autre définition
V .
« Mais, de même l?homme, d?un côté, aime lier ses propres
conduites à de bonnes intentions et tâche par des réflexions, de grossir ses conduites en elles-mêmes et pour elles-mêmes sans importance, inversement il lui arrive de prétendre découvrir quelque méchanceté dans les conduites grandes, ou du moins bonnes, d?autrui, en les rapportant à une intention égoïste. »
® conclusion au problème énoncé au début du texte
Ce sujet ne comporte aucun échange pour le moment. Vous pouvez intervenir en vous connectant à votre compte. Je me connecte
INTERVENIR SUR CE SUJET | ||
|
cliquez sur l'étoile pour voter