en une : Sujet : causes de la crise de 1929

Commentaire litteraire acte 4 scene 7

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bonjour,
je voudrais savoir si mon intro et conclusion sont bien en accord, si mes axes sont bien choisit et si mes citation sont justes ( allégories et hyperboles) j ai tendance à les confondre. et serrait il possible de savoir si mon devoir vaut la moyenne, comme je travaille en même temps que mes cours je n ais pas put rendre de devoir svp. merci

"L'illusion comique de Pierre Corneile a été écrite en 1636.Epoque ou le baroque et le classisme se rencontent."L étrange monstre", c'est ainsi qu'il parle de son oeuvre. Écrivain du XVII ème siècle il tente de s'imposer dans un style baroque.La mise en abîme dans sa pièce met en avant la puissance du théâtre. Dans l'extrait que nous étudions nous retrouvons Clindor,en prison. Il est condamné pour la mort d'Ardaste. C'est alors que nous découvrons une autre facette du personnage. Dans un premier temps nous évoquerons a quel point Clindor sombre vers sa mort, puis nous verrons comment il réussit a reprendre espoir. Ce qui nous permettras de savoir si cette scène est tragique ou pathétique?

Cette tirade n'est pas s'en nous rappeler celle d'Isabelle au début de l'acte, même souffrance, même désir de mourir pour l'autre. Dans le début de cette tirade ont peut voir que Clindor s'inquiet de son sort. Au vers 1229 " ne m'abandonnez point soyez moi plus fidèles", il est évident que Clindor implore ses souvenirs, si chers, si réconfortent de ne pas le quitter. On peut sentir le désespoir qui commence à l envahir. Clindor cherche la raison de son châtiment. Il croit mourir pour avoir été amant. Aux vers 1242 et 1244 la répétition de "je meurs" montre qu'il se voit mourir heroiquement pour Isabelle. Au vers 1240, 1243,et 1250 ont peut relevezle champ lexical de la mort, "ma mort, je meurs, mort" et le champ lexical de la souffrance, aux vers 1240, 1243, 1246, " je souffre, châtiment, supplice", on voit très bien que clindor est omnibule par sa mort mais aussi par la souffrance qu'elle cause. De sa mort il évoque son torcionnaire, Ardaste. Au vers 1251 "son nom fait contre moi ce que n'a pu son bras" cette allégorie montre clairement qu'il parle de celui-ci. Au vers 1264, "et des mains d'un rival en celle d'un bourreau" il s'imagine Ardaste diriger les main de son exécuteur. Au vers 1252 " mille assassins nouveaux naissent de son trépas" à travers cette hyperbole, il évoque la puissance d'Ardaste, ce qui nous montre sa peur.Dans les vers 1268 au vers 1273 "je sors les fers aux pieds; j'entends déjà le bruit" Il rêve éveiller de sa mort. Dans les vers 1257, "demain de mon courage on doit faire un grand crime" à travers ce chiasme il met en évidence son innocence. Au vers 1274" "la mon esprit se trouble et ma raison s'égare" l'oxymore présente nous fait constater a quel point il est déstabilise. Au vers 1276 "et la peur de la mort me fait déjà mourir" ont peut voir à quel point il prend conscience de sa peur de la mort. Dans le vers 1283 le mot "revivre" nous dévoile qu'il à senti la mort de très pret vit sa proprre illusion de la mort. On pourrait presque voir une gradation dans les sentiments de Clindor, la peur puis la mort. C'est alors que dans un grand moment de solitude et de désèspoir, qu'il evoque le nom de sa bien aimé, Isabelle.

Son monologue met en évidence le parcour de Clindor face à la mort. A la fin de cette scene le vers 1273 " je vois le lieux fatal ou ma mort se prepare" montre Clindor deseperer il s'enfonce dans sa souffance et c'est alors qu'il reprononce le nom d'Isabelle. Qui jusqu'a présent n'à étè evoqué qu'au vers 1242" Isabelle, je meurs pour vous avoir servie" afin de justifier une mort glorieuse. Mais au vers 1277, "Isabelle, toi seule, en reveillant ma flamme, Dissippes ces terreurs, et rassures mon ame" il invoque Isabelle pour chasser ses visions démoniaques, mais aussi pour le réconforter. Les rimes riches prèsentes dans ces memes vers 1277 et 1278 "flammes, ame" accentue la valeur de ses mots, et de l'impact pour celui qu'il écoute. Sa peur de sa propre mort lui fait prendre concsience de son véritable amour pour elle.Meme lyse qu'il courtisait n'est pas evoqué une seule fois tout au long de ses vers. Il éprouve des sentiments sinceres envers Isabelle. Au debut de cette scene il évoques ses souvenirs aux pluriels, et la, au vers 1282 "garde mon souvenir, et je croirait revivre" il sait à présent qu un seul souvenir le tiendra en vie, celui d' Isabelle.

Dans l'obscure, il va de la haine à l'amour.Le monologue de Corneille soutenu par l'hypotypose lui permet de nous décrire très précisèment la mort de Clindor et de la rendre encore plus vivante. Clindor fait face a ces démons, il se dit pret a mourrir pour Isabelle. Et c'est elle meme qui à travers ses pensées va le sauvé. Il a une vrai prise de conscience. Clindor face à la mort se decouvre lui meme, en découvrant son amour. Du personnage frippon, volage, il evolue dans un personnage vrai et heroique. On peut donc dire que cet extrait est pathetique, car il prend conscience de ses sentiments, alors qu'il est proche de la fin. Puisque que l'on sait que Clindor va etre sauver, on peut se demander si cette scene ne provoque pas un changement sur le comportement de clindor dans la suite de cette piece.
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