en une : Sujet : causes de la crise de 1929

Dissertation

Francais (college, lycee) > sujets expliqués - Question simple
                
La troisième partie de votre travail doit être effectivement une sorte de synthèse, mais cette dernière peut prendre de nombreuses formes : il s'agit avant tout de rebondir sur le sujet proposé, d'ouvrir la réflexion en fonction de votre propre argumentation, de s'attacher à une problématique qui en fin de course apparaît primordiale....
Ici, je vous propose (par rapport à ce que j'ai pu vous proposer dans les deux premières parties) de vous attacher dans cette dernière partie à essayer de définir ce que peut être la lecture et à quel type de rapport avec l'oeuvre le lecteur peut être confronté. Y a-t-il plusieurs types de lectures? On parle souvent de "niveaux" de lecture : qu'est-ce que cela peut vouloir dire? Essayez de voir les "échelles" de lecture depuis une lecture que l'on pourrait dire "naïve" à une lecture "savante". La compréhension est-elle le tout de la lecture? Cherchez à déterminer cette part d'irréductible qui résistera de toute façon à l'analyse et à la science du commentaire.
On ne vous demande pas de donner des réponses, mais de savoir poser les bonnes questions et de donner des pistes possibles de réflexion à partir d'une véritable argumentation articulée autour d'exemples précis, bien analysés en fonction de ce que vous voulez montrer. Pour cette dernière partie, vous pouvez de lire le texte de Marcel Proust sur la lecture. mais surtout prenez des exmples de textes qui peuvent permettre plusieurs "niveaux" de lecture ("Les Fables" de La Fontaine par exemple). Vous pouvez aussi parler de lectures en mouvement : non seulement une lecture évolue en fonction des époques, mais en outre votre propre lecture d'une oeuvre évolue au cours de votre vie. C'est de cette richesse là de l'oeuvre littéraire dont il est question : une oeuvre toujours en mouvement grâce à la lecture qui ne cesse de réactiver des sens, de réactiver des lectures virtuelles inscrites dans l'oeuvre.

Pour la conclusion, vous devez faire le bilan de la réflexion que vous avez menée (en deux ou trois lignes reprendre en résumé votre parcours argumentatif : le point de départ, le point d'arrivée de votre réflexion) et ensuite essayer d'ouvrir sur un questionnement annexe (que vous n'avez pas traité). Ici, vous pouvez finir sur cette idée d'une irréductibilité de l'oeuvre, une part qui résistera toujours à l'analyse... A vous de trouver, mais le plus important (et indispensable) c'est le bilan.
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