en une : Cours philo : Dieu

"epictète 2"

Philosophie > sujets expliqués - Question simple
                
Bonjour!
Merci de votre réponse précieuse!
Cependantil y a deux choses que je ne comprends pas dans celle-ci.
Je vous rapelle mon texte:

« Est libre l'homme qui ne rencontre pas d'obstacles et qui a tout à sa disposition comme il veut. L 'homme qui peut être arrêté, contraint, entravé ou jeté malgré lui dans quelque entreprise est un esclave. Mais quel est celui qui ne rencontre pas d'obstacles? C'est celui qui ne désire rien qui lui soit étranger. Et qu'est -ce qui nous est étranger? C'est ce qu'il ne dépend pas de nous d'avoir ou de ne pas avoir, ni d'avoir avec telle qualité dans telles conditions. Ainsi le corps nous est -il étranger, étrangères ses parties, étrangère notre fortune; si tu t'attaches à l’une de ces choses comme à ton propre, tu subiras le châtiment que mérite celui qui convoite des choses étrangères. Telle est la route qui conduit à la liberté, le seul moyen de nous affranchir de l'esclavage. »

EPICTÈTE

Déjà je ne comprends pas la phrase : "L'homme qui peut etre arreté, contraint, entravé ou jeté malgré lui dans quelque entreprise est un esclave."(phrase 2). Je ne voit pas si il passe d'une servitude physique ou plutot morale, mentale. Dans ce cas ce serait le corpsqui contraint?pouvez vous m'éclairer sur ce point?DE plus quel commentaire faire sur la conclusion?Je n'en ai trouvé aucun...Vous me proposez comme interet philosophique: s'interroger sur ce qui dépend vraiment de nous. Eb fait, à part donner des exemple je vois mal ce que je pourrez faire car je n'ai pas beaucoup d'idées la dessus. Evidemment on pourrait faire intervenir la raison mais ce serait plutot furtif ou rebarbatif vous ne trouvez pas? Un copain de fac m'a proposé cet interet: "spus une définition en apparence négative de la liberté (abscence de contrainte) s'affirme une conception positive que nous pouvons faire aujourd'hui encore pleinement notre: la définition de la liberté comme autonomie, comme refus de ce qui nous affecte passivement."Déjà, je ne vois pas trop ce qu'il entend par autonomie et "ce qui nous affecte passivement". Que pensez vous de cette problematique sinon? Quelque soit votre avis pouvez vous me donnez un point de départ pour l'interet philosophique car je suis vraiment à cours d'idée.
Merci encore, ce site est vraiment génial et vous aussi!
Julien.
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