Enoncé & travail préliminaire :  je désirerais faire un exposé sur les préjugés et le travail social.

La question que je désirerais traiter est: pouvons nous faire abstraction des préjugés, en tant que travailleur sociaux? J'aimerais aussi amener à cet exposé des appuies théorique de grand philosophes tels que: Ricoeur et Kant.

J'ai déjà un texte qui exprime mon avis sur le sujet, serait-il possible que vous le corrigiez et que vous m'indiquiez des pistes pertinentes ppour un prolongement??
voici le texte:

Il est important de comprendre que les préjugés font partie intégrante de nous, qu'ils soient bons ou mauvais.

C'est une façon de nous sécuriser, de nous repérer face aux autres car ils nous permettent de comprendre, voire d'appréhender le monde.
On puise dans le passé, dans notre propre histoire pour interpréter la vie que nous menons et surtout pour comprendre les situations auxquelles nous sommes confrontées chaque jour.

De ce fait je pense qu'il est impossible de pouvoir faire une totale abstraction de nos préjugés ; qu'ils soient positifs, négatifs ou bien même qu'on les rencontre dans la vie privée ou dans le milieu du travail.
Bien entendu, ceci n'est pas une fatalité, et nous ne devons pas nous limiter à une prise de conscience.

Le fait d'en prendre conscience permet non pas d'en faire abstraction mais de modérer nos préjugés et de poser un regard le plus neutre possible.

C'est un travail que l'on doit faire individuellement et collectivement à la fois.
Je veux dire par là, qu'il est trop difficile de combattre nos préjugés, en solo.

C'est pourquoi, je pense que ce même travail doit être compris à une échelle beaucoup plus grande, donc celle de la collectivité.
Car bien que personnel (chacun à ses propres préjugés), le jugement, bon ou mauvais, positif ou négatif, implique incontestablement l'autre, celui qui sera le fruit de nos préjugés.

Je vous remercie d'avance