Sujet / exercice : Malheur à qui n'à plus rien à désirer (Rousseau)
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Enoncé & travail préliminaire :
La question de mon commentaire est: insister dans le moment de la discussion sur la portée et les limites à l'aide d'une thèse d'un autre auteur choisit dans le chapitre du desir.
Voici le texte :
Malheur à qui n'a plus rien à désirer ! il perd pour ainsi dire tout ce qu'il possède. On jouit moins de ce qu'on obtient que de ce qu'on espère, et l'on n'est heureux qu'avant d'être heureux. En effet, l'homme avide et borné, fait pour tout vouloir et peu obtenir, a reçu du Ciel une force consolante qui rapproche de lui tout ce qu'il désire, qui le soumet à son imagination, qui le lui rend présent et sensible, qui le lui livre en quelque sorte, et pour lui rendre cette imaginaire propriété plus douce, le modifie au gré de sa passion. Mais tout ce prestige disparaît devant l'objet même; rien n'embellit plus cet objet aux yeux du possesseur; on ne se figure point ce qu'on voit; l'imagination ne pare plus rien de ce qu'on possède, l'illusion cesse où commence la jouissance. Le pays des chimères est en ce monde le seul digne d'être habité, et tel est le néant des choses humaines, qu'hors l'Être existant par lui-même, il n'y a rien de beau que ce qui n'est pas.
Et donc se ke jaimeré précisément c'est avoir un plan pour le commentaire et une idé de conclusion
merci de votre compréhension mais surtout de votre aide!
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