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Philosophie > Fiche suggestion de sujet

Sujet / exercice : commentaire de texte Bergson
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Enoncé & travail préliminaire :  Pourriez-vous corriger l?introduction, SVP.
Je n?ai traité que celle-ci, car c?est ce que j?arrive le moins bien à faire. Cependant, je n?ai pas réussi a trouvé la problématique. Pourriez-vous m?expliquez clairement comment je peux la trouver et aussi comment rédiger ma conclusion ?
je vous en remercie.

Bouche lydie.

TEXTE :
Si [...] les fourmis, par exemple, ont un langage, les signes qui composent
ce langage doivent être en nombre bien déterminé, et chacun d?eux
rester invariablement attaché, une fois l?espèce constituée, à un certain
objet ou à une certaine opération. Le signe est adhérent à la chose signifiée.
Au contraire, dans une société humaine, la fabrication et l?action sont
de forme variable, et, de plus, chaque individu doit apprendre son rôle,
n?y étant pas prédestiné par sa structure. Il faut donc un langage qui permette,
à tout instant, de passer de ce qu?on sait à ce qu?on ignore. Il faut
un langage dont les signes ? qui ne peuvent pas être en nombre infini ?
soient extensibles à une infinité de choses. Cette tendance du signe à se
transporter d?un objet à un autre est caractéristique du langage humain.
On l?observe chez le petit enfant, du jour où il commence à parler. Tout de
suite, et naturellement, il étend le sens des mots qu?il apprend, profitant
du rapprochement le plus accidentel ou de la plus lointaine analogie pour
détacher et transporter ailleurs le signe qu?on avait attaché devant lui à un
objet. « N?importe quoi peut désigner n?importe quoi », tel est le principe
latent du langage enfantin. On a eu tort de confondre cette tendance avec
la faculté de généraliser. Les animaux eux-mêmes généralisent, et
d?ailleurs un signe, fut-il instinctif, représente toujours, plus ou moins, un
genre. Ce qui caractérise les signes du langage humain, ce n?est pas tant
leur généralité que leur mobilité. Le signe instinctif est un signe adhérent,
le signe intelligent est un signe mobile.
BERGSON, L?évolution créatrice, PUF, p. 158-159.

Introduction :
Le texte s?interroge sur le thème du langage, plus précisément l?auteur aborde le thème de la comparaison entre les signes animaux et les signes humains. La thèse défendu par l?auteur est la suivante, les signes humains sont mobiles à la différence des signes animaux qui sont adhérents.
Afin de développer cette thèse, l?auteur affirme dans un premier temps que si les fourmis ont un langage, leurs signes sont déterminés. Ceci le conduit à montrer la différence avec les signes du langage humains, qui eux peuvent s?étendre à une infinité de choses. Cette affirmation est ensuite démontrer par un exemple. Pour conclure l?auteur énonce sa thèse sur la différence entre les signes du langage humains et deux du langage animal ( en supposant que ceux ci existent).

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