en une : Sujet : causes de la crise de 1929


Histoire (college, lycee) > Fiche suggestion de sujet

Sujet / exercice : jérusalem
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Enoncé & travail préliminaire :  J'ai essayé de traité le sujet . Pourriez vows maintenant m'aidez .De plus des deux questions déjà posées , j'avais la question suivante .
Merci de vouloir les corriger , dorénavent , je vous enverrai ce que j'ai trouvé
Merci
julie

De quelles religions monothéistes est il question ?

Jérusalem est revendiquée encore aujourd'hui pour ses trois religions :la religion juive, la religion chrétienne et la religion musulmane.

Sous le régime de Salomon (961-922) avant Jésus Christ il y a eu la construction du premier temple sur le mont Morial .Puis un second sera construit fin 515 , le temple d'Hérode qui sera détruit en +70 par les Romains .Le mur des lamentations est l'unique vestige du second temple .

Le St Sépulcre construit par Constantin en 326 , église construite à l'emplacement présumé de la mort du Christ .

En 637 , les Arabes prennent Jérusalem aux Byzantins . Selon le Coran a fait un voyage nocturne depuis la Mecque jusqu'à Jérusalem ou sera construit la mosquée d'El Aksa.

Jérusalem trois fois sainte

Jérusalem est un lieu de pélérinage pour les musulmans , les juifs et les chrétiens .
Pour les premiers elle représente le troisième lieu saint de l'Islam après la Mecque et la Médine .Ils sont nombreux chaque année à se rendre au Dôme du Rocher.
Pour les juifs la ville sacrée demeure le référent religieux central avec le mur des lamentations .
Enfin , pour les chrétiens , c'est la ville de la passion du Christ.

Pour la deuxième et la troisième question , je trouve qu'il est difficile de dire si l'organisation géographique de l'espace est la cause du conflit politico_religieux ou si c'est l'inverse . Je crois que l'un alimente l'autre . Pourriez vous m 'expliquer ces deux questions séparément et plus explicite . Je trouve ce sujet compliqué .

L'organisation hiérosolymitain est un reflet , déjà ancien des fractures religieuses de cette religion. Chrétiens, musulmans et juifs ont depuis longtemps leur quartier autour de leurs sanctuaires spécifiques .Les limites de la ville sont d'ailleurs mouvantes dans le temps , extrêmemt long , de l'urbanisme local . La vielle ville de jérusalem , dans ses limites actuelles remonte au moyen âge et ne correspond pas aux limites des temps bibliques . La guerre des six jours , qui a permis à l'état d'israel de prendre le contrôle de la totalité de la zonz urbaine , a ajouté à cette division un conflit entre le droit interne de "la grande jérusalem " , qui en fait la capitale légitime de l'état . Pour légitimer ces prétentions , eretz israel , a d'abord fermer les yeux puis parfois encouragé l'installation de colons juifs dans le "grand jérusalem" . La dynamique de la mobilité d'une part , l'élan de la natalité d'autre part ont joué dans l'accroissement exponentiel de la population métropolitaine . Il est judicieux de noter à quel point les anciennes limitez administratives ont été piétiner , surmontées , franchies , anéanties . Dans cette course au peuplement , les différentes parties jouent le même objectif , mais avec des atouts différents . Le foyer israélite compte sur l'immigration , le substrat arabo-musulman sur la fécondité , et dans une moindre mesure sur le retour de réfugiés historiques des évènements de 1948,1956, etc. La croissance urbaine est donc de ce point de vue un aspect du conflit , une modalité de la guerre , plus que l'une de ses conditions .Elle ne change pas le conditions du problème , mais les accentue . Ce qui rend le conflit particulièrement difficile à résoudre aujourd'hui , c'est tout ce temps passé , perdu , à regarder dans d'autres directions . Pendant ce temps la la politique du fait accompli menée par chacun des deux camps a exacerbé les oppositions . La croissance urbaine de jérusalem a poussé chacun des deux camps à une position dont il n'est plus question de reculer . Le gouvernement israélien ne peut demander aux colons de déménager , . L'autorité palestinienne ne peut ni calmer la fécondité (il faudrait des outils de développement économique dont elle ne dispose pas ) ni accepter le déplacement de surnuméraires vers de nouveaux camps de réfugiés ? Conclusion : si le conflit religieux est le premier dans cette affaire , il a été progressivement submergé par des difficultés socio_économiques , sciemment employées par chacune des deux forces en présence pour en tirer un avantage hypothétique .Cette fuite en avant nous ôte tout perspective de voir le problème résolu .

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