en une : Le raisonnement par récurrence

Je souhaite demander une correction sur un texte de platon

Commentaire de philosophie > sujets expliqués - 28/09/2008 - correction
                
Bonjour je souhaite profiter de l'offre à 25 euros "tout compris" (Intro rédigée
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Je dois donc faire lun commentaire de texte du texte qui se trouve ci dessous. C'est la première fois que j'en fait un donc c'est pour cela que je prend cette offre tout compris car je ne cerne pas vraiment la question qui donne naissance a ce texte. J'espère que cette correction m'aidera. Il me semble que PLaton essaie de montrer et de designer les personnes qui ne sont pas des philosphes (les sophistes) mais je ne comprend pas le but. Peut-être cherche-t-il a donner une défintion d'un philosophe en montrant ce que le philosophe n'est pas? De plus je ne comprend pas ce que veut dire Platon lorsqu'il parle du "peuple" et des "assemblé". Je suis assez bloqué donc je ne sait pas comment démarrer, étant donné que je ne voit pas trés bien le but du texte

J'espère que vous pourrez m'aider.

Voici le texte:

« Tous ces particuliers mercenaires, que le peuple appelle sophistes et regarde comme ses rivaux, n’enseignent pas d’autres maximes que celles que le peuple lui-même professe dans ses assemblées, et c’est là ce qu’ils appellent sagesse. On dirait un homme qui, après avoir observé les mouvements instinctifs et les appétits d’un animal grand et robuste, par où il faut l’approcher et par où le toucher, quand et pourquoi il s’irrite ou s’apaise, quels cris il a coutume de pousser en chaque occasion, et quel ton de voix l’adoucit ou l’effarouche, après avoir appris tout cela par une longue expérience, l’appellerait sagesse, et l’ayant systématisé en une sorte d’art, se mettrait à l’enseigner, bien qu’il ne sache vraiment ce qui, de ces habitudes et de ces appétits, est beau ou laid, bon ou mauvais, juste ou injuste ; se conformant dans l’emploi de ces termes aux instincts du grand animal ; appelant bon ce qui le réjouit, et mauvais ce qui l’importune, sans pouvoir légitimer autrement ces qualifications ; nommant juste et beau le nécessaire, parce qu’il n’a pas vu et n’est point capable de montrer aux autres combien la nature du nécessaire diffère, en réalité, de celle du bon. Un tel homme, par Zeus ! ne te semblerait-il pas un étrange éducateur ? »

Merci beaucoup. J'espère que je n'ai pas eu totalement tord sur le but du texte
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