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Plan du commentaire sur le denouement du rapport de brodeck page 373 de "j'ai marché" jusqu'à la fin"

Francais (college, lycee) > sujets expliqués - 13/02/2010 - correction
                
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plan du commentaire sur le denouement du rapport de Brodeck

Bonjour, je voudrais avoir de l'aide pour réaliser mon plan sur le denouement du rapport de Brodeck, de la page 373 à "j'ai marché" jusqu'à la fin de l'oeuvre.

J'ai bien lu cet extrait mais je n'arrive pas à mettre en place un plan correct pour réaliser mon commentaire, si vous m'aidez à trouvez le plan cela va beaucoup m'aider pour réaliser mon commentaire.

Extrait du passage pour réaliser le plan du commentaire.

J'ai marché. J'a traverser la Staubi sur le vieux pont de pierre. Je me suis arréter un moment pour entendreune dernière fois son murmure. Cela raconte beaucoup de choses une rivière, pour peu que l'on sache l'écouter. Mais les gens n'écouten jamais ce que leur racontent les rivières, ce que leur racontent les forêts, les bètes, les arbres, le ciel, les rochers des montagnes,les autres hommes. Il faut pourtant un temps pour dire, et un temps pour écouter.
Poupchette ne s'était pas réveillée encore, et Férodine somnolait. Emélia seule avait les yeux grands ouverts. Je les portais toutes trois sans mal. Je ne ressentais aucune fatigue. Peu après le pont, j'ai aperçu à une cinquantaine de mêtres de moi l'Ohnmeist. Il paraissait m'attendre, comme s'il voulait me montrer le chemin. Il s'est mis en route, d'un petit trot, et m'a précédé ainsi pendant plus d'une heure. Nous sommes montés par le sentier en direction du plateau du Haneck. Nous avons traversé ls grands bois de résineux. Il y avait de bonnes odeurs de mousse et d'épines. De la neige formait au pied des grands sapins des corolles claires et le vent faisait se balancer la cime des arbres et craquer un peu leur troncs. Lorsque nous sommes arriver à la limite superieur de la fôret et que nous avons commencé à marcher sur les chaumes du Bourenkopf, l'Ohmneist a couru pour grimper sur un rocher. Les premières lueurs de l'aube l'ont alors éclairé, et je me suis aperçu qu'il ne s'agissait pas du chien de personne, de cet Ohnmeist qui allait dans nos rues et dans nos maisons comme si tout était son royaume, mais d'un renard, un très beau et très vieux renard, autantque j'ai pu en juger, qui a pris la pose, a tourné sa tête vers moi, m'a regardé, longument, et puis, d'un bond souple et gracieux, a disparu dans les genêts.
Je marche sans fatigue. Je suis heureux. Oui, je suis heureux.
Les sommets autour de moi sont mes complices. Ils vont nous dérober. Je me suis retourné il y a quelques instants, près du calvaire au beau christ étrange, pour jeter un dernier regard surotre village. Il y a ici d'ordinaire un si joli point de vue. On le voit petit. Les maisons paraissent des figurines. Si on tendait le bras, on pourrait presque les prendre dans le creux de la main. Mais ce matin, je n'ai rien vu de tout cela. J'ai eu beau regarder. Je n'ai rien vu. Il n'y avait pourtant pas de brouillard, pas de nuages, pas de brume. Maisen contrabas, il n'y aait aucun village. Il n'y avait plus de village. Le village, mon village, vait complètement disparu. Et avec lui tout le reste, les figures, la rivière, les êtres, les douleurs, les sources, les sentiers que j venait d'emprunter, les forêts, les rochers. C'était cmme si le paysage et tout ce qu'il avait contenu s'était effacé derière mes pas. Comme si à mesure ue j'avançais, on avait démonté le décor, plié les toiles peintes, éteint les lumières. mais de cela, moi, Brodeck, je ne suis pas responsable. De cette disparition, je ne suis pas coupable. Je ne l'ai pas provoquée. Je ne l'ai pas souhaitée.
Je le jure.
Je m'apelle Brodeck, t je n'y suis pour rien.
Brodeck, c'est mon nom.
Brodeck.
De grâce, souvenez-vous.
Brodeck.

Dans ce dénouement on assiste à la fuite de bodeck et sa famille du village.

Famille de brodeck:
- Poupchette qui est sa fille
- Emelia qui est sa femme
- Férodine qui est comme sa mère adoptive

il s'enfut a travers une foret, on peut donc citer le champs lexical de la nature:
"ciel","forêts","bêtes","arbres","montagnes","rivières" ...

Ici c'est brodeck le narrateur, il raconte son histoire, sa fuite.On peut donc dire qu'il est interieur a l'histoire car il assiste à toutes les scènes.On peut également dire qu'il raconte ce dénouement d'un point de vue interne car il raconte l'histoire comme il l'a vecu, il décrit ce qu'il voit , mais ne connait pas le futur, ne connait pas les pensées des personnages.

Il est vue comme une sorte d'être puissant qui ne semble pas être atigué du voyage qu'il fait avec sa famille pour s'enfuir.
"je ne ressentais aucune fatigue"

par contre sa famille , elle était fatigué, brodeck disait même qu'il les portait toute les trois comme si il était puissant, comme si il était impatient de s'enfuir.

Durant sa fuite, Brodeck nous décrit le paysage à travers quelque nom propres : la Staubi, le pateau du Haneck, les chaumes du Bourenkopf.

pendant sa fuite il rencontre un homme "l'honmeist" qui est vue par brodeck comme une sorte de sauveur, de messi, comme si il était la pour lui montrer le chemin de fuite du village.

Quand brodeck dit "l'honmeist a courru pour grimper sur un rocher. les premières lueurs de l'aube l'ont alors éclairé." ici cet homme est vue comme une sorte de roi qui reigne par la suite il est comparé a un renard car un renard est très rapide et très malin , et lui d'un coup il disparait.

Brodeck utilise des phrases très courtes et présises pour montrer sa joie de s'être enfuit. "je suis heureux., oui, je suis heureux."

les sommets sont comprarés a une sorte de complice, car les mntagnes entourent les personnages, comme si elles assistaient a leurs fuite, comme si elles etaient témoins, mais aussi comme si elles etaient protectrice.

Plus brodeck avancait, plus son village rétréssisait, plus il disparisait.
Alors brodeck le voyait comme si les maisons était des figurines et comme si il pouvaitle prendre dans le creux de la main, comme si brodeck voualait l'ecrasé.

Mais un matin il ne le voyait plus au loin, pourtant il faisait comprendre que le mauvais temps n'était pas présent.

Le village a disparue en ne laissant rien autour de lui comme si pus brodeckavancait et plus tout s'effacait, le mal commis au village par les villageois ne semblais plus être présent.

Champs lexical du mauvais temps : "brume",nuages","brouillard".

Il avait peur d'être responsable de sa disparition.

A la fin, on a l'impression que Brodeck a peur qu'on l'oubi, a peur qu'il disparaisse, car il nous cite 4 fois son nom a la fin de l'oeuvre et dit "souvenez-vous".
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