en une : Cours philo : Dieu

Corriger svp ma rédaction en style et en orthographe et me donner des idéees nouvellesou autres pistes de travail

Francais (college, lycee) > sujets expliqués - 03/12/2008 - correction
                
(notez que je n'ai pas le sujet de votre rédaction)

Je tenais une petite épicerie en Pologne et je menais une vie paisible avec ma femme et mon fils jusqu'à l'annonce d’un guerre en 1939. Tout s'accéléra après les premières déportations de juifs.Comme je l'étais moi-même, ,je dus fermer mon épicerie et me cacher.. Le 25 mai 1943,les allemands m'arrêtèrent et me mirent dans un train pour un long et terrible voyage. : des déportés juifs de tous ages avaient été entassés dans les voitures ; .des personnes agées ou plus fragiles mourraient à cause d'etouffement, de dénutrition ou d'épuisement. Aprèsun trajet de deux jours,nous arrivâmes au camp proche de treblinka. L'ambiance était lugubre: le camp était immense et je ne me sentais pas rassuré. Les allemands formèrent deux groupes, l'un réservé aux hommes valides.Je fus donc séparé de ma femme et de mon fils ce qui fut très douloureux. Après nous avoir fait déshabiller, on nous distribua es tenues zébrées : Une veste,un pantalon,un bonnet et des sabots.C’était bien sûr humiliant mais moins que d’etre nu je les enfilai avec soulagement.
Nos journées etaient harassantes, nous travaillions douze heures d’affilée dans ces vetements inadéquats. Le froid nous saisissait. Les chaussures, particulièrement inappropriées, nous blessaient. .Le bois des sabots se fendait jusqu’à ne devenir qu’un toile (je n'ai pas compris).Je dus finalement marcher pied nu ce qui provoqua des abcès. Le soir,épuisé j’allais me coucher mais nous étions prés d’une quarantaine par dortoir et nous souffrions du manque de nourriture .En effet nous ne mangions que de la soupe et des fragments de légumes et du pain midi et soir .L’eau n’était pas potable et nous avions comme seule boisson du café non sucré. parfois, on nous donnait du fromage blanc ou de la compote.Plusieurs mois passèrent ,le travail était toujours aussi pénible mais je résistais en pensant à ma famille.Je n’apercevais que de plus en plus rarement mon épouse et mon fils. Chaque matin,je pensais que si je ne pouvais plus continuer. .Mais comment faire autrement alors que je savais qu’il n’y avait aucun espoir de s’évader ? Les SS nous surveillaient jour et nuit sans relache,,la lanière à la main, prêts à nous fouetter au moindre faux pas.

Les troupes américaines débarquèrent à Tréblinka pour libérer et détruire tous les camps .J’appris plus tard que ces lieux étaient destinés non à l'emprisonnement mais à l'extermination. .Ainsi ,j’appris que ma femme et mon fils étaient morts gazés.Je fus devasté devant une telle barbarie : comment des hommes avaient-ils pu la commettre ?

De retour chez moi,je rouvris une épicerie et me remariai, dans ma tete restent gravées à jamais ces horreurs et humiliations.
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