Conversation avec le cyberprof |
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Enoncé & travail avant correction Denise, maintenant, avait du pain tous les jours. Elle en gardait une vive gratitude au vieux marchand, dont elle sentait le bon cœur, sous les étrangetés violentes. Son vif désir était cependant de trouver ailleurs du travail, car elle le voyait inventer de petites besognes, elle comprenait qu'il n'avait pas besoin d'une ouvrière dans le débâcle de son commerce, et qu'il l'employait par charité pure.[...] Le soir Denise fut embarrassée pour annoncer à Bourras qu'elle le quittait. Il la traita en effet d'ingrate, s'emporta ; puis lorsqu'elle se défendit, les larmes aux yeux, en lui faisant entendre qu'elle n'était pas dupe de ses charités, il s'Attendrit á son tour, bégaya qu'il avait beaucoup de travaux qu'elle l'abandonnait juste au moment où il allait lancer un parapluie de son invention. Relevez et identifiez proposition subordonnée relative (PSR) proposition subordonnée complétive (PScp) proposition subordonnée conjonctive circonstancielle (PScc) proposition subordonnée interrogative indirecte (PSII) proposition subordonnée infinitive (PSI) |
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Bonjour, Merci de pr?ciser quelle est votre question ou quel probl?me vous rencontrez. Comme stipul? dans nos conditions, nous r?alisons en effet pas de corrig? "tout fait" mais corrigeons un travail qui nous est soumis ou aidons ? faire les devoirs si vous ?tes bloqu?, ou n'avez pas compris quelque chose. Merci |
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C'est la 1ère fois que j'utilise le site et ma question porte sur les propostions subordonnées que je n'arrive pas à relever et identifier dans le texte. Je vous ai mis le texte avec une réponse car je ne sais pas comment faire et j'ai besoin d'aide. ---------------------------------------------- Denise, maintenant], [avait du pain tous les jours]. [Elle en gardait une vive gratitude au vieux marchand], [dont elle sentait le bon cœur](PSR), [sous les étrangetés violentes.] [Son vif désir était cependant de trouver ailleurs du travail], [car elle le voyait inventer de petites besognes], [elle comprenait qu'il n'avait pas besoin d'une ouvrière dans le débâcle de son commerce], [et qu'il l'employait par charité pure].[...] [Le soir Denise fut embarrassée pour annoncer à Bourras qu'elle le quittait]. [Il la traita en effet d'ingrate], [s'emporta ]; [puis lorsqu'elle se défendit, les larmes aux yeux, en lui faisant entendre qu'elle n'était pas dupe de ses charités],[ il s'Attendrit á son tour], [bégaya qu'il avait beaucoup de travaux qu'elle l'abandonnait juste au moment][où il allait lancer un parapluie de son invention.] * j'ai juste mis (PSR) si vous pouviez m'aider. Merci beaucoup |
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Voilà un résumé qui pourrait vous être très utile. Avant tout, il faut comprendre à quoi servent toute ces propositions et ce qui les caractérisent. Toutes les propositions subordonnées ont un objectif différent dans la phrase. Le conseil que je pourrais vous donner est, pour commencer, de chercher les conjonctions ou les mots clés dans le texte qui pourraient vous aider à repérer une proposition (comme par exemple "qui", "si", ""lequel", et beaucoup d'autres...). Une fois que vous avez repéré ce mot, comparez le avec la fiche synthèse qui suit et vous ne devriez pas avoir de problème pour résoudre cet exercice. Une proposition subordonnée dépend d’une principale à laquelle elle est liée par un mot subordonnant. •Une proposition relative est une subordonnée introduite par un pronom relatif (qui, que, quoi, dont, où, lequel, quiconque). Exemple : la voiture qui est à Paul est cassée •Une proposition subordonnée circonstancielle indique les circonstances d’une action. On peut distinguer 5 types de conjonctions de subordination différents : - De temps : quand, lorsque, comme, dès que, pendant que, tandis que, au moment où, avant que, jusqu'à ce que, depuis que... - De cause : parce que, puisque, comme, vu que, du moment que, étant donné que... - De conséquences : si...que, tellement...que, tant...que, de sorte que, si bien que, trop...pour, assez...pour... - De but : pour que, afin que, de peur que, de crainte que, dans l'espoir que... - De comparaison : comme, ainsi que, de même que, aussi que, plus...que, mieux...que, moins...que... Exemple : Comme il fait chaud, je rentre à la maison. (temps) Les propositions subordonnées complétives s’opposent aux circonstancielles. Elles ne sont ni effaçables ni déplaçables. Elles assument les fonctions essentielles du nom et dépendent du mode du verbe de la principale. •Une proposition subordonnée interrogative indirecte est introduite soit par la conjonction si, soit par un pronom (qui, que, quoi, lequel), un déterminant (quel) ou un adverbe (comment, pourquoi, où, quand, combien). Exemples : J’ignore si elle viendra à la fête. Je me demande quelle heure il est. Elle a demandé comment elle pourrait avoir une bonne note. • Une proposition subordonnée infinitive est introduite par un verbe de perception (voir, apercevoir, entendre, regarder, sentir) ou le présentatif Voici . Exemple : Voici venir l’artiste ! J’entends les oiseaux chanter. J'espère que cela vous sera d'une grande aide. Bon courage |
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